
Je crois Jay Coles quand, dans ses remerciements, il évoque les larmes versées au cours de l’écriture de ce roman. Je le crois profondément et je vous invite à partager ce roman aux adolescents qui vous entourent, à partir de 15 ans. Réaliste et percutant, il interroge la violence et le racisme quotidiens ainsi que les différentes réactions qui découlent de ces actes, des proches des victimes à la population dans sa globalité.
Quatrième de couverture : « Au début, on était quatre. Mes meilleurs potes, mon jumeau et moi. Né dans un quartier où tout est moche, sale et criblé de balles, on s’en est plutôt bien tirés. Tyler est un gars cool et populaire. Je bosse dur pour sortir du ghetto. On peut être noir et réussir dans ce monde de blancs. En tout cas, c’est ce que je croyais. Jusqu’au jour où Tyler a disparu. »
Roman…
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