
Dystopies multiples, autant de glissements à partir de territoire que l’on s’approprie, hommage aussi au pulps au tant que réflexion sur nos non-appartenances à l’Histoire et à nos souvenirs. Aucune terre n’est promise ne propose pas seulement une réflexion, par décalage, sur Israël, Lavie Tidhar crée une pensée sur l’endroit, ses altérations, censée nous définir.
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