
Dans ma bibliothèque dorment plusieurs romans d’Edgar Hilsenrath. Dès lors que l’on s’intéresse à la littérature de la Shoah, cet auteur s’impose à nous. Un style très particulier, grotesque et sans concession, qui s’avère parfois difficile à aborder.
Quatrième de couverture : « Ce recueil de nouvelles réunit des textes écrits par Edgar Hilsenrath sur une trentaine d’années. C’est un ensemble insolite, qui va de la farce au récit tragique, du témoignage au conte, en passant par le manifeste politique et la critique littéraire. Entre réminiscences et imaginaire, Edgar Hilsenrath raconte la Bucovine de son enfance, évoque l’écriture et la publication de ses trois romans les plus connus, invente une correspondance délirante entre un général et le coiffeur juif Itzig Finkelstein (alias le meurtrier de masse Max Schulz) – personnage principal de Le Nazi et le Barbier –, livre un éloge d’un de ses deux modèles – Erich Maria Remarque…
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