
Probablement l’un des romans graphiques les plus attendus de la rentrée, Radium Girls a tenu, pour moi, toutes ses promesses et même plus. Si je dois en dire dès maintenant une chose : découvrez-le, offrez-le, les fêtes approchent (mais l’offrir sans raison particulière, c’est sympa aussi) !
Quatrième de couverture : « Des destins de femmes sacrifiées sur l’autel du progrès.
New Jersey, 1918. Edna Bolz entre comme ouvrière à l’United State Radium Corporation, une usine qui fournit l’armée en montres. Aux côtés de Katherine, Mollie, Albina, Quinta et les autres, elle va apprendre le métier qui consiste à peindre des cadrans à l’aide de la peinture Undark (une substance luminescente très précieuse et très chère) à un rythme constant. Mais bien que la charge de travail soit soutenue, l’ambiance à l’usine est assez bonne. Les filles s’entendent bien et sortent même ensemble le soir. Elles se surnomment les Ghost…
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